Quelque part entre Pavarotti et Kimera, « Opera Sublima » aligne, sur une mélodie indigente trempée dans la sauce électro par Matt Kukes, les noms des compositeurs italiens d’opéras et de leurs œuvres. Selon la façon dont on veut voir le verre – à moitié vide ou à moitié plein – on déplorera l’image ringarde qui colle aujourd’hui aux basques de l’opéra ou l’on se réjouira de la vitalité d’un genre qui, quatre siècles après sa création, continue de faire chanter la planète. Christophe Rizoud
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