Après ses récents triomphes, à Munich pour l‘essentiel, les parisiens se faisaient une joie d’applaudir Anja Harteros Salle Pleyel mercredi et jeudi soir prochains, 12 et 13 mars, dans la scène finale de Capriccio, à laquelle on avait adjoint pour l’occasion une poignée de lieder orchestrés de Richard Strauss. Las, la soprano souffrante vient d’annuler sa participation, obligeant Marek Janowski et l’Orchestre de Paris à revoir le programme. Dorénavant symphonique, il alternera des pages de Richard Strauss (Mort et Transfiguration, Métamorphoses, pour orchestre à cordes) et de Franz Schubert (Symphonie n° 8 dite « Inachevée »). Sauf erreur de notre part, l’agenda d’Anja Harteros n’indique aucun autre rendez-vous parisiens dans les mois à venir. Un nouveau défi pour Stéphane Lissner ? [Christophe Rizoud]]