En cette période de fêtes qui voit comme chaque année les œuvres de Jacques Offenbach réquisitionner la plupart des théâtres lyriques, coup de chapeau à l’une de ses meilleures interprètes : Régine Crespin. En 1981, alors que la voix, raccourcie aux entournures, a perdu de sa splendeur, l’étoffe et la ligne restent superbes. Plus que la diction – de rêve, pourtant – le ton achève de placer cette Grande Duchesse en haut du podium. Ah ! Que j’aime Régine Crespin ! Christophe Rizoud
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