Le dernier ténor. Ce n’est pas faire injure à de grands interprètes comme Carlo Bergonzi ou Nicolai Gedda, Placido Domingo ou José Carreras que de parler ainsi de dernier ténor pour Giuseppe Di Stefano. On a bien parlé de Renata Tebaldi comme de la dernière diva, ce qui n’était en rien une marque d’oubli pour Leyla Gencer ou Magda Olivero, ni Renata Scotto ou Mirella Freni, tout aussi profondément professionnelles, mais dont la digne et belle carrière demeura plus à l’ombre des médias …et qui ne se virent jamais opposer comme à elle, il vrai, une antagoniste d’envergure telle Maria Callas ! Pippo, comme le surnommèrent rapidement ses admirateurs et amis, brûlait les planches d’un timbre à la fraîcheur unique et passionnait un public complètement subjugué…
I. QUELLE MAGIE ?
II. LES DÉBUTS : « CANTO, MA SOTTOVOCE »
III. LA GLOIRE ET LES FOLIES, OU QUAND ALMAVIVA CHANTE I PAGLIACCI
IV. L’ART DE LA MÉLODIE
V. « O TU CHE IN SENO AGLI ANGELI »
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