Pourquoi le nouveau récital de Max Emanuel Cencic, consacré à des airs d’opéras de Johann Adolf Hasse (1699-1783), s’appelle-t-il « Rokoko » ? Parce que la musique du compositeur allemand « incarne l’élégance et la grâce du Rococo ». Sur la pochette, le contre-ténor prétexte la paronymie entre « rock’n roll » et « rokoko » pour arborer une mèche que n’aurait pas reniée Elvis Presley. Onze arias dont cinq enregistrées pour la première fois composent le programme de ce récital dirigé par George Petrou à la tête de l’Orchestre Armonia Atenea. Sortie en France le 20 janvier 2014. [Christophe Rizoud]