A l’opéra, c’est bien connu, l’hémoglobine coule à flot. On ne compte plus les héros et héroïnes qui meurent sur scène le coeur transpercé d’une épée, d’un poignard, d’une lance… (rayez la mention inutile). Valentin chez Gounod n’échappe pas à la règle. C’est pourfendu par Faust que le frère de Marguerite « tombe en soldat » non sans avoir auparavant maudit sa soeur – comme l’abus de globules rouges, la malédiction est une constante à l’opéra. A la Bastille, en fin de saison, Florian Sempey s’écroulait la chemise rougie d’un sang généreux. Le baryton français sur Twitter en livre le secret qui – bonne nouvelle pour la Mère Denis – part facilement au lavage.
#Sang #Blood #Theatre #Opera
Comment réaliser une scène avec du sang à l’opéra ?
Tuto ! #Faust #Valentin @operadeparis #rehearsals #onstage #duyingbutsinging #kill #murder pic.twitter.com/sehdXjLqrV— Florian Sempey (@FlorianSempey) June 24, 2022