Ô amour, mystérieux amour, ton étrange folie et ta mélancolie me gagneront-elles un jour ? *
Si la tradition veut que le baryton et la mezzo empêchent la soprano de coucher avec le ténor, l’opéra regorge avant tout d’histoires d’amour folles, passionnées, tourmentées, à l’issue souvent funeste. Les amants, traversant les orages mouvementés des amours contrariés avec la fougue de leur jeunesse, finissent par succomber aux délices irrésistibles de la cristallisation stendhalienne et se jurent d’éternels sentiments, que le cortège du temps ne saurait vaincre, avant de renoncer ou de périr. De sortilèges en envoûtements, de piège en piège, certains se perdent, d’autres se sacrifient, souvent à l’aube de leur vie. Vieillir heureux et en paix n’est pas le sort réservé aux héros de l’art lyrique
A l’occasion de la Saint-Valentin, en partenariat avec Decca, nous célébrons l’Amour et vous donnons la parole, à vous lecteurs bien-aimés ! Amour fou, absolu, éternel, éperdu, unilatéral, impossible… Quel est selon vous l’opéra qui raconte la plus belle histoire d’amour ?
Envoyez votre réponse via notre rubrique contact avant le mercredi 21 février, 18h avec « Saint-Valentin 2018 » dans l’objet du message.
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Un tirage au sort, parmi les participants, désignera les gagnants de l’album Verdi de Joseph Calleja, sorti le 2 février dernier.
Le résultat du sondage et le nom des gagnants seront annoncés en ligne.
* Henri Sauguet, Les Caprices de Marianne